J’attends vos retours et questions par mail.
Vous pouvez aussi m’encourager via vos commentaires.
Je suis toujours un peu mal à l’aise quand on me pose cette question :
Qu’est-ce que tu lis en ce moment ?
Pourtant, je lis des livres en ce moment.
Parce que je pourrais très bien ne pas en lire…
Après tout, il y a les podcasts, les doc à la télé, les conférences YouTube, et j’en passe.
Mais déjà, je me sens l’envie de me justifier…
En tant que personne autiste, même si je me suis ignoré cette qualité pendant une bonne partie de ma vie, j’ai pris l’habitude d’observer la manière dont les autres gens répondaient à ce type de questions…
Bah oui, parce qu’aussi simple que paraisse la question, il y a souvent des subtilités.
Je pourrais vous donner des milliers d’exemples, ils sont innombrables, le plus caractéristiques étant que quand une personne vous demande comment vous allez, si vous répondez vraiment à la question, elle va en être toute interloquée.
Ce n’était certainement pas la réponse attendue 🤨
Trêve de digression, même si j’ai pléthore anecdotes sur cette question du comment tu vas, que j’ai finalement appris à utiliser, parfois à mon avantage, ce que j’apprends même à mes stagiaires en formation !
Sur la question dont je voulais traiter aujourd’hui : qu’est-ce que tu lis en ce moment ?
J’ai ainsi pu remarquer :
1° que les gens lisaient le plus souvent de livres que je ne connaissais pas…
Ce qui est une bonne chose, puisque cela me permet d’ouvrir ma culture livresque…
2° que les autres ont l’air de connaître…
Et là, je me dis qu’il me manque quelque chose…
3° que je ne lirais sans doute jamais…
J’ai essayé, parfois.
Alors, j’ai un peu honte.
Je ne lis pas (ou très rarement) de livres intelligents
Il fait que je vous le dise.
Cela ne veut pas dire non plus que leurs propos ne m’intéressent pas, mais je n’arrive juste pas à les lire.
Je n’en suis pas fière, mais c’est comme ça.
J’ai essayé. J’en achète parfois.
Je dois avoir un Virginie Despentes quelque part, par exemple…
Que je n’ai jamais ouvert.
Je n’ai jamais terminé la Théorie du choc de Naomi Klein. Et pourtant, je me suis accrochée, hein, parce que c’était quand même dingue tout ce qu’elle racontait dans ce livre !
En revanche, je me sens assez intime avec tout un tas d’auteurs et autrices, comme Bourdieu, Barthes, Simone Weil, Simone de Beauvoir, ou encore Platon, et bien d’autres via des cours, des conférences ou des podcasts que j’ai écoutés. Mais je ne me sens pas armée intellectuellement pour accéder directement à leur pensée.
Il n’y a que Sarthe que j’ai beaucoup lu dans le texte à un moment donné de mon adolescence, parce qu’il a littéralement changé sauvé ma vie avec son histoire de garçon de café, mais je n’ai pas su tirer toute la substance de ce que j’avais lu de lui aussi bien que j’ai pu le faire des années plus tard avec les cours de philo de Adèle Van Reeth…
Dis-moi ce que tu lis et je te dirais qui tu es
L’autre raison pour laquelle, je suis mal à l’aise de répondre à cette question : Qu’est-ce que tu lis en ce moment ?
C’est que j’ai l’impression que ma réponse va me caser ☑️
Vous ne pouvez pas savoir le mal que j’ai eu, plus jeune, à me défaire de l’étiquette de fan de Claude François, parce que j’avais eu le malheur de répondre à cette question une fois, qu’est-ce que tu écoutes en ce moment ? J’écoutais Claude François. J’ai répondu Claude François. Ce qui ne m’arrive pas tous les jours, même s’il a compté dans ma vie, et notamment dans mon choix de devenir freelance (sans doute par esprit de contradiction) :
Tout ça pour dire que ce que j’écoute à l’instant T… pardon, ce que je lis à l’instant T ne me résume pas.
À la limite, ma bibliothèque vous dirait plus ce que je suis à partir de ce que je garde comme livres près de moi. Et il y en a beaucoup. Ce n’est pas par hasard que j’ai voulu devenir libraire non plus !
L’inventaire de ma bibliothèque
Rassurez-vous, je ne vais pas vous dresser la liste des titres 😲
Je dresserai cet inventaire par couches de sédimentation, et par rayons.
Les premiers livres de ma bibliothèque sont arrivés à l’enfance, alors que j’étais insomniaque.
Outre les livres de la super médiathèque (déjà !) de Chilly-Mazarin (91), j’avais un crédit ouvert par mon père de 3 livres par semaine à l’achat. Je lisais environ 1 livre par nuit : toute la bibliothèque rose, puis verte y est passée, ainsi que les grandes collections jeunesse.
J’étais abonnée à J’aime lire aussi, ce qui doit rappeler des souvenirs à certaines.
Ces livres de l’enfance, je ne les ai pas gardés. Ils ont été donnés.
C’est vers la 4ème que j’ai commencé à m’intéresser à la littérature via les cours de français.
J’ai donc dévoré du classique, au-delà du programme (pour une fois que je me faisais remarquer de manière positive !)
Je ne suis pas certaine que de commencer par les grands auteurs (non, je n’ai pas oublié le féminin) aide vraiment les élèves à accéder à l’écriture, parce que cela met la barre très haut.
Enfin, c’est mon point de vue. J’ai vraiment l’impression que pour ma part, cela ne m’a pas aidée. La comparaison n’est pas flatteuse…
Je suis devenue fan de Dumas, Hugo, Balzac, Zola, mais aussi plus sporadiquement de Maupassant, de Flaubert, de Gauthier…
J’en oublie certainement beaucoup, mais nous manquons de temps pour que je m’étale, n’est-ce pas ?
À cette époque, j’aimais aussi beaucoup la poésie, et je me piquais d’écrire des vers.
J’écrivais aussi des correspondances (sur papier) avec mon groupe de copines (mes succès en français m’avaient une petite popularité au lycée).
Je les voyais pourtant tous les jours, mais cela remplaçait dans mon cas le téléphone que les ados adorent, même avant les réseaux sociaux, mais que j’ai toujours détesté (le truc qui sonne sans rendez-vous et sans qu’on sache qui sonne, du moins à l’époque : rappelez-vous pour les moins jeunes, les téléphones étaient gris avec un cadran qui tourne ☎️)
Je précise que j’avais adoré (et que j’aime toujours) les Liaisons dangereuses de Laclos (et le film de Stephen Frears).
J’ai eu aussi ma période correspondances, notamment celles de Flaubert, que je connais mieux par ses lettres que ses romans.
D’ailleurs, avec cette newsletter, je compte me réintéresser aux romans épistolaires et autres correspondances (en évitant les comparaisons, hein !)
Si vous avez des recommandations, je prends !
À la fac, j’ai accumulé les livres d’histoire.
Je n’insiste pas, mais autant vous dire que c’est lourd et que cela prend de la place.
Il est quasiment certain que je ne les relirai pas. Quoique…
Si cela n’était pas si compliqué pour moi, là où je suis, j’en vendrais certainement quelques-uns.
Depuis, ma bibliothèque s’est enrichie de livres très étranges aux amatrices de belles bibliothèques, sur des thèmes aussi saugrenus que le référencement web, la négociation commerciale, le marketing, les tunnels de vente, etc.
Bref tout ce qui touche à l’entrepreneuriat.
Dans la série, ce que j’appelle les livres de formation, c’est-à-dire qui à défaut d’élever ma conscience me permettent d’avancer sur terre, il y a tous les livres liés à ce qu’on appelle le développement personnel. Je n’aime pas, et je n’ai jamais aimé ce terme, mais il est commode à utiliser.
Ce sont tous les livres que j’ai pu acheter sur
la psychologie positive (Ch. André ou Floss),
sur les différentes thématiques auxquelles je peux être confrontée en tant qu’accompagnatrice : syndrome de l’imposteur, manque de confiance ou d’estime de soi, etc.
sur les outils et différentes écoles du coaching et du bilan de compétences…
Je ne m’étends pas, ce serait un sujet en soi.
Sur les sujets d’intérêt plus personnels, ce sont rajoutés :
Depuis quelque temps déjà les sujets liés à l’écriture, ateliers d’écritures, journaux et correspondances…
Je ne m’étends pas, car il y aurait trop à dire 🤭
Et depuis une dizaine d’années maintenant, un rayon entier consacré aux séries policières : Mary Lester que je relis actuellement (59 tomes parus aujourd’hui), la série des Fronsac (17e siècle), et du même auteur, celles de Olivier Hauteville (Ligue), de Guilhem d’Ussel (Ph. Auguste), et Les Chroniques d’Edward Holmes et Gower Watson (Le Paris anglais de la guerre de Cent Ans). Les aventures de Nicolas Le Floch dont une partie ont été télévisées (pour celles qui ont la chance d’avoir la télé). La série des Voltaire mène l’enquête qui me fait toujours beaucoup rire.
Et puis, j’ai la série des Adamsberg de Vargas que j’aime assez et celle des Nestor Burma.
Je n’ai « lu » les Maigret qu’à la télé avec Bruno Cremer, mais je pourrais m’y mettre un jour, même si j’ai déjà trop à lire !
Ceux-là sont dans ma chambre au plus près du lit, puisque ce sont ceux que je lis avant de me coucher. Un bon crime, il n’y a rien de mieux pour me fatiguer (je ne suis plus insomniaque !)
Mes piles de livres
Est-ce que vous êtes encore là, ou m’avez-vous fait faux bond au détour d’un rayon ?
Parce que je n’ai pas fini de répondre à la question !
Autre raison pour laquelle, j’ai du mal à répondre à la question, c’est que je ne lis pas un livre, mais toujours plusieurs livres…
Sur ma table de nuit, j’ai le tome 37 des enquêtes de Mary Lester qui se passe dans le Nord-Finistère.
C’est ce que j’aime dans cette série, c’est qu’elle se passe en Bretagne.
C’est la troisième fois que je le lis (avec toute la série). Oui, parce que je relis beaucoup aussi !
Sur mon bureau, j’ai le Guide Instagram d’Aurélie Moulin, que je vous recommande vivement si vous vous intéressez à la question.
J’ai le livre de Stéphane Dieutre, Et maintenant, que vais-je faire ? que je pense abandonner, parce qu’il ne m’apporte rien. Je n’ai pas très bien compris quel était l’objectif du livre.
Et Les pratiques de l’approche narrative (Interédition), qui est bien (j’ai terminé, mais j’ai encore à travailler dessus). Sur les pratiques narratives (pour les néophytes, comme moi), je recommanderais plutôt les livres de Dina Scherrer, notamment celui dans la même collection : Accompagner avec l’arbre de vie.
Et sur la table près du canapé, j’ai les livres suivants :
Le fameux Libérez votre créativité de Julia Caméron, mais je sens bien que je ne vais pas y arriver !
J’ai beau faire les 3 pages de cahier chaque matin depuis des années, je ne me retrouve pas tellement dans le reste de son approche. J’essaye quand même…
Réalisez vos rêves grâce au vision board, que je n’ai pas commencé.
Est-ce que je le commencerai un jour. That is a question…
Oui, parce que j’achète aussi beaucoup de livres que je ne lis jamais… pas encore pour l’instant…
En revanche, je relis et relis encore volontiers le Pourquoi écrire va vous rendre heureux de Nathalie Goldberg à l’occasion, et par morceaux. Il m’inspire beaucoup, ne serait-ce que parce que cela m’autorise justement à écrire sans chercher à atteindre le niveau de Hugo. Tant pis si j’écris de la merde (c’est elle qui le dit), au moins j’écris…
Et puis, sur le buffet, trônent Les Notes de chevet, attribuées à Sei Shōnagon, dame de compagnie de l’impératrice consort japonaise Teishi, au Xie siècle, dans une édition illustrée par Hokusai chez Citadelles et Mazenod.
C’est Caroline du compte @irreguliere et autrice de la lettre Escale poétique qui en avait parlé, et cela m’avait donné très envie. Sauf que je ne sais littéralement pas par quel bout prendre ce « beau livre » qu’il faudrait peut-être que je me rachète en poche pour le lire…
Les livres qui m’ont le plus marquée
Il y a ceux que j’ai le plus relus.
Je ne relis pas tous les livres.
Il y a aussi ceux que je garde, mais que je ne relis pas ou plus.
Il est quand même rare que j’aime un livre et que je ne le relise pas.
Des fois, deux fois de suite, cela m’est arrivé très souvent, parce que je n’apprécie pas le début de la même façon quand on a fait l’expérience du livre dans son entièreté.
Ce fut le cas, par exemple de celui de Nathalie Goldberg qui m’avait assez ennuyé au début, avant que je comprenne l’intérêt du truc. C’est quelque chose qui m’arrive souvent…
Le numéro 1 est La trilogie des 3 mousquetaires dont je ne peux pas me passer plus de 2 ans !
Je crois que je pourrais les relire d’affilé. En fonction des époques de ma vie, j’ai une affinité particulière pour une partie ou une autre. Ainsi j’ai très longtemps préféré la première partie, la plus connue, qui me fait toujours rire, puis ça a été la 3ème, Le Vicomte de Bragelonne, pour la description de la cour de Louis XIV. Aujourd’hui, je me reconnais plus dans Vingt Ans après.
Ce qui est sûr, c’est que d’Artagnan fait partie de ma vie, et que j’ai une estime très forte pour Porthos dont la vie bien réglée dans son merveilleux château de Pierrefonds me fait rêver ✨
Les misérables arrivent en numéro 2 de mes relectures, mais c’est sans aucun doute mon roman préféré.
Le sujet est devenu un peu trop sérieux pour moi. Mais cela reste mon top 1 du roman. Je n’imagine pas qu’une personne humaine (ni GPT) puisse faire mieux.
Jean Valjean reste une valeur sûre.
Cela va être difficile de départager les autres : lequel ai-je le plus lu et relus parmi la Dame de Montsoreau (avec Chicot 😄), la reine Margot (qui m’a fait découvrir Éliane Viennot et l’écriture inclusive, mais ça nous mènerait loin sur ce sujet typique d’un 8 mars), Le Bonheur des dames (sans doute parce que j’ai beaucoup travaillé en grands magasins) ?
Ce serait vraiment difficile de les départager, tellement j’ai de joie à les relire.
Reste que je relis beaucoup d’autres choses, comme les séries policières (l’avantage d’avoir une mémoire de poisson rouge, comme dirait Géraldine)
Les livres qui ont bouleversé ma vie
Je vous ai parlé de Sarthe et de L’Être et le Néant avec son garçon de café qui m’a permis de faire « comme si » tout était normal, « comme si » je comprenais ce qu’il se passait…
« Comme si » m’a sauvé la vie par son efficacité en me permettant de jouer mon rôle.
Jusqu’à ce que je me rende compte (peut-être dix ans plus tard) que j’avais survécu, mais que je ne vivais pas ma vie…
Celui qui m’a sauvé de cela, d’imiter la vie pour être acceptée, c’est… oserai-je le dire ?... mais nous sommes entre nous…
L’être humain react, fait ce qu’on est supposé faire : Tu as un rhume, et tu te mouches…
Il y a des gens qui n’ont pas réussi, parce qu’ils ne sont pas aware, il n’ont pas l’attention de savoir qu’ils existent. Les pauvres, ils ne savent pas. Il faut réveiller les gens. C’est-à-dire qu’il y a des gens qui font leur travail, qui font leurs études, ils ont un diplôme, ils sont contents avec tout ça…
Ce sont des gens qui ne sont pas aware.
Aucun livre n’a rivalisé avec ça 😛
Et pourtant, cela a été écrit et réécrit, mais je ne sais pas pourquoi c’est lui dans sa touchante et maladroite manière de vouloir faire passer son message qui m’a touchée. D’autant qu’il l’a payé cher !
Bref.
Je n’ai pas trouvé d’autres livres en fait, qui aurait changé ma vie.
Et vous, vous en avez ?...
Je pense quand même à une œuvre, Guernica, que j’ai eu la chance (ou pas) de voir en vrai au musée Reina Sofía à Madrid.
J’y ai vu de manière assez violente l’inutilité de lutter contre ce qu’il pouvait arriver. En ce sens, cela m’a bien aidée à contenir mes angoisses (bizarrement, parce que cela aurait pu être le contraire). Je n’avais jamais fait le rapprochement, mais c’est un peu avant la fin de mes insomnies…
Depuis, je suis devenue assez fataliste. Advienne que pourra.
Dans un autre genre, sans avoir bouleversé ma vie, deux autres livres m’ont particulièrement marquée, mais ils ne sont pas dans ma bibliothèque.
Je pense à la biographie de Charles VI, chez Perrin, que j’avais empruntée à la bibliothèque de mon quartier.
Il lui est arrivé des trucs de dingue, même Dumas ou Marie Stuart ne peuvent pas rivaliser !
Mais ce n’est pas pour ça pour le livre m’a marqué, c’est sur le sujet de la roue qui tourne.
Cela donne espoir… Mais tout le monde n’a pas sa Jeanne d’Arc !
Et en parlant de Jeanne d’Arc, la biographie de Colette Beaune, que je vendais très bien en librairie, m’a fait réviser mes croyances sur les faits historiques, et donc sur les faits et les croyances, en général…
Et je viens de voir qu’il avait été réédité en poche, je vais me faire le cadeau de me le commander.
En conclusion
Bon, cette fois, il me semble, j’ai fait le tour de la question 😊
J’ai peut-être oublié – et pour être tout à fait honnête – la série des Barbara Cartland et des Agatha Christie qui étaient disponibles chez ma grand-mère l’année post-bac que j’ai vécue chez elle, alors que j’étais toujours insomniaque…
Finalement, est-ce que quelqu’une peut me dire quelle était la réponse attendue à la question ?
Qu’est-ce que tu lis en ce moment ?
Et vous, en quoi ce que vous lisez vous définit (ou pas) ?
Au plaisir de vous lire 🤍
Céline
PS
Suite à la Lettre de la semaine dernière
Je vous remercie de vos nombreux retours et ressources.
Je n’ai pas encore tout regardé.
Plein de questions ont été soulevées.
Je vous remercie de vos témoignages.
J’ai été très touchée de cette confiance et égoïstement cela fait du bien de se sentir comprise par des personnes qui sont passées par là. Merci beaucoup 🙏
Je me suis un peu remise à travailler cette semaine. Je ne sais pas si c’est lié, mais c’est toujours ça de gagné !
La difficulté reste de finir ce que j’ai commencé, et c’est là tout le problème.
Heureusement qu’il y a cette lettre qui comble par son exception même, cette insatisfaction de ne rien terminer.
Et le fait qu’il y ait des gens pour la lire est plutôt une bonne surprise, et que vous me répondiez est un vrai bonheur. Comme quoi tout n’est pas désespéré 🌫️
.
Je vous repartage cette courte vidéo de moins de 5 minutes de TED Éducation qu’on m’a signalée.
Je l’ai trouvé à la fois instructive et simple d’accès :
Céline, waouh que des grands auteur.e.s. En même temps ça ne me surprend pas trop. C'est tout toi, quand on te connait un peu et qu'on connait ton cursus universitaire.
Pour ma part, je lis beaucoup de livre"feel good". Mes autrices préférées : Virginie Grimaldi, Mélissa Da Costa, Laure Manel, Françoise Bourdin (qui nous a quitté le jour de Noël 😥), Sophie Tal Men et bien d'autres encore. Côté auteurs lmasculin : Gilles Legardinier et Guillaume Musso. Et il faudrait que j'essaie ceux de son frère Valentin Musso.
Après on pourrait se poser la question : Pourquoi lit-on ? ça pourrait être intéressant. Moi, je lis pour m'évader de mon quotidien, "faire de nouvelles rencontres" avec les personnages.
Je déteste ne plus avoir de livre à lire, j'ai le sentiment d'être seule perdue. Il me faut au minimum livres d'avance. Je lis beaucoup notamment le soir (j'ai laissé tombé la télé qui m'ennuie profondément et des programmes qui commencent tard et finissent à pas d'heures).
Finalement, à écrire ce petit commentaire, je me dis que cela pourrait être une idée d'article.